
Le SaaS (Software as a Service) est devenu l’un des modèles les plus populaires pour lancer une entreprise tech. Accessible, scalable, avec des revenus récurrents, il attire aussi bien les startups ambitieuses que les solopreneurs.
Mais lancer un SaaS n’est pas qu’une affaire de code : c’est avant tout une démarche structurée qui combine stratégie produit, marketing et compréhension du marché.
La première erreur des créateurs de SaaS est de se lancer tête baissée dans le développement. La bonne approche :
L’objectif : proposer une première version simple mais fonctionnelle. Pas besoin de toutes les features dès le départ, mais assez pour répondre au problème identifié.
👉 Exemple : Notion a commencé comme un simple outil de prise de notes avant de devenir une plateforme complète.
Un SaaS repose souvent sur l’abonnement (mensuel ou annuel). Les points clés à décider :
Une fois les premiers clients onboardés :
Lancer un SaaS, c’est aussi gérer la facturation, les contrats, la trésorerie et le suivi client. Klark offre un cockpit d’outils centralisés qui simplifie ces aspects, permettant aux créateurs de SaaS de se concentrer sur le développement produit et la croissance.
En 2025, le SaaS reste un modèle d’avenir, mais la réussite ne se joue pas uniquement dans le code : elle repose sur la compréhension du marché, l’écoute client et la discipline commerciale.
💡 Conseil pratique : ne code pas une ligne avant d’avoir parlé avec au moins 20 clients potentiels.
Valider l’idée, créer un MVP, choisir le bon modèle économique, trouver les premiers clients et améliorer le produit en continu.
Non, grâce aux outils no-code (bubble.io, UI Bakery, Retool, Wave Maker), il est possible de lancer un MVP sans compétences techniques.
De quelques centaines d’euros avec du no-code, à plusieurs milliers si un développement sur mesure est nécessaire.
En simplifiant votre gestion administrative et financière mais également et surtout grâce à son co-fondateur IA qui aide les entrepreneurs à créer un SaaS.