Lever des fonds n’est pas toujours la solution idéale pour développer son entreprise. Si céder une partie de son capital à des investisseurs peut accélérer la croissance, cela implique aussi un partage du pouvoir décisionnel et une pression accrue sur les résultats. Heureusement, en 2025, les entrepreneurs disposent de nombreuses alternatives à la levée de fonds classique.
Les prêts professionnels restent une option solide pour financer un besoin de trésorerie ou un investissement ponctuel.
Idéal pour les entreprises qui doivent investir dans du matériel coûteux (machines, véhicules, informatique).
👉 Le leasing permet de financer l’équipement tout en préservant sa trésorerie.
Les plateformes de financement participatif continuent de séduire.
Bpifrance, l’Union Européenne ou les régions proposent de nombreux dispositifs d’aides : subventions, avances remboursables, crédits d’impôt (CII, CIR).
Ces financements non dilutifs permettent de soutenir l’innovation sans céder de capital.
De nombreux entrepreneurs choisissent de croître uniquement grâce à leurs propres revenus.
En 2025, certaines startups explorent les Initial Coin Offerings (ICO) et autres levées de fonds via tokens.
La levée de fonds n’est qu’une option parmi d’autres. En 2025, les entrepreneurs peuvent combiner plusieurs leviers de financement : prêts bancaires, leasing, crowdfunding, aides publiques, ICO… L’essentiel est de choisir la stratégie la plus adaptée à son projet, à son secteur et à son rythme de croissance.
👉 L’indépendance financière est parfois plus précieuse qu’un gros chèque d’investisseur.
Le prêt bancaire, le microcrédit, le financement participatif (equity ou donation-based), les subventions publiques et les revenus récurrents (bootstrapping).
Pour conserver le contrôle de son entreprise, éviter les dilutions de capital et conserver la liberté d’action.
La visibilité nécessaire, le coût de campagne et l'obligation de livrer une contrepartie ou respecter les attentes des contributeurs.
Oui, en centralisant les revenus et dépenses, Klark permet de suivre la rentabilité et la planification financière quelles que soient les sources de financement.