En décembre 2025, Nvidia reçoit l’autorisation historique d’exporter certaines de ses puces IA, notamment les H200, vers la Chine. Cette décision, encadrée par le gouvernement américain, marque un tournant pour le marché mondial des semi-conducteurs, tout en révélant les liens étroits entre technologie, géopolitique et stratégie entrepreneuriale.
Après plusieurs années de restrictions liées à la sécurité nationale, la présidence américaine de Donald Trump autorise désormais Nvidia à vendre ses puces H200 en Chine. Ces processeurs sont essentiels pour :
À noter : cette autorisation ne concerne pas toutes les puces Nvidia, et certaines séries comme Blackwell restent sous restrictions strictes.
L’accès aux puces H200 permet à certaines entreprises chinoises de renforcer leurs capacités IA, ce qui ouvre des opportunités pour les fournisseurs, partenaires technologiques et startups.
Nvidia pourrait générer des milliards de dollars supplémentaires, malgré une partie des revenus devant être reversée sous forme de taxes ou royalties au gouvernement américain.
Malgré l’autorisation, Les puces les plus avancées restent interdites, limitant l’impact immédiat sur certaines applications critiques. La Chine n’a pas encore confirmé de commandes massives, ce qui laisse une incertitude commerciale. Les tensions géopolitiques peuvent modifier les règles du jeu à tout moment.
Les entrepreneurs doivent donc considérer cette ouverture comme une opportunité conditionnelle, et non comme un retour complet sur le marché chinois.
La décision d’autoriser Nvidia à vendre ses puces H200 en Chine est un signal majeur pour l’écosystème tech mondial :
Nvidia reste un acteur clé et cette ouverture, même partielle, peut transformer les stratégies des entreprises dans le cloud, l’IA et la fabrication high-tech.
